Ce post, dont la thématique est « l’automobile », vient d’être découvert sur internet, nous sommes heureux de vous en reproduire le contenu le plus remarquable plus bas.
Le titre saisissant (Formule 1 | Alpine en mal de puissance : Toto Wolff (Mercedes) ferme la porte à une dérogation) parle de lui-même.
Sachez que le chroniqueur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu.
Il n’y a pas de raison de douter de la fiabilité de ces infos.
Premier revers pour Bruno Famin. Son appel à la Fédération internationale de l’automobile, qui a examiné le sujet en Commission F1 lors du Grand Prix de Belgique, à Spa-Francorchamps, et à ses collègues directeurs d’équipes ne trouvera probablement pas d’écho favorable à un droit de développement exceptionnel du groupe propulseur Renault qu’utilise l’Alpine A523 cette saison.
Depuis sa promotion comme directeur d’Alpine Motorsport le 10 juillet dernier, et son intronisation comme patron opérationnel des Bleus sur le terrain au Grand Prix des Pays-Bas, le week-end dernier, le manager français plaide pour un réalignement du V6 de Viry-Châtillon par rapport à la concurrence. Le bloc Renault accuserait une trentaine de chevaux de retard sur le meilleur ensemble du plateau – le Honda -, ce qui donnerait droit selon lui à une évolution technique dans une règlementation qui a pourtant gelé tout développement jusqu’en 2025 inclus.
Mais c’est mal parti car Toto Wolff, l’homme le plus influent du paddock, s’y oppose fermement. Pour le directeur d’équipe de Mercedes Motorsport, les conditions ne sont pas réunies.
Le Renault n’accuse pas un déficit de 3%
« La façon dont nous avons conçu la réglementation est que, pour 2026, si l’un des fabricants tombe en deçà de 3% de puissance du meilleur groupe propulseur, nous lui accorderons plus de temps au banc d’essais, et nous agirions de la meilleure façon pour trouver une règle », a expliqué l’Autrichien à Zandvoort, le week-end dernier.
« Point n°1 : nous ne voyons rien de proche de 3 %, a-t-il argumenté, fort de mesures GPS en possession de toutes les équipes sur la puissance des moteurs. Point n°2 : nous ne pouvons pas bricoler des réglementations en cours de route simplement parce que quelqu’un ne performe pas. Je pense qu’avec ces 3 %, nous sommes dans une bonne position et nous ne jouons pas avec ‘l’équilibre des performances’ (ndlr : une BoP façon Endurance serait la fin de la Formule 1 selon Wolff) en augmentant le débit de carburant ou une chose de ce genre. Il faut travailler soi-même, et ça vaut pour nous. »
Renault n’a donc qu’une chose à faire : optimiser ce qu’elle a jusqu’à fin 2025 et mettre les bouchées doubles sur le V6 qui répondra au réglement technique de 2026.
Bibliographie :
Code de la route/Les deux roues,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Le Radium qui tue/p01/ch04,Le livre .
Mécanique automobile/Contrôle de la courroie d’accessoires,Ouvrage .
Publicité automobile et société,Le livre .